Bien que les utilisateurs de marijuana mangent généralement plus, ils pèsent généralement moins que les non-utilisateurs. Une étude portant sur environ 50 000 personnes a révélé que ceux qui consommaient de la marijuana au moins 3 jours par semaine avaient un taux d’obésité de 14 à 17 %, contre 22 % et -25 % pour ceux qui n’avaient pas consommé de marijuana au cours de l’année écoulée. Le composé exact qui contribue à la perte de poids chez les consommateurs de marijuana n’est pas connu. Cependant, comme le CBD est l’un des composés de la marijuana, il peut être impliqué dans cette relation.
La recherche soutient l’idée que les cannabinoïdes dans leur ensemble, plutôt qu’individuellement, peuvent affecter notre appétit, notre métabolisme et des fonctions corporelles similaires liées au poids.
Attention : bien que le CBD puisse aider à la perte de poids, il peut à l’inverse entraîner une prise de poids en augmentant l’appétit.
Les changements d’appétit sont l’un des effets secondaires les plus courants du traitement au CBD. Cependant, les effets sont de nature différente. L’appétit de certaines personnes peut diminuer, tandis que l’appétit d’autres peut augmenter.
Lors de l’ingestion de CBD, une combinaison de facteurs, y compris le type de produit et notre génétique, détermine comment cela affecte notre appétit. Bien que la plupart des gens assimilent le cannabis à un stimulant de l’appétit, ils ont tendance à avoir faim après avoir consommé du cannabis (que ce soit du chanvre ou de la marijuana).
Cela est dû à un composé appelé THC, ou tétrahydrocannabinol. Alors que le THC peut provoquer des sensations de faim, le CBD a l’effet inverse. Selon une étude, le CBD a la capacité de supprimer l’appétit. La leptine est une protéine qui agit comme médiateur anorexigène ; H. il provoque une perte d’appétit. La leptine joue également un rôle important dans la prise alimentaire, le contrôle du poids corporel et le métabolisme.
Le CBD peut favoriser la perte de poids en réduisant l’appétit, en stimulant le métabolisme et en encourageant le « bronzage » des cellules graisseuses. Cependant, la recherche est actuellement limitée et davantage d’études humaines sont nécessaires.